Chronique de Concert
Moon Gogo + Cannibale + Tshegue + Girls in Hawaii + DBFC + the Liminanas (Festival Yeah !)
Voici 2 mois que le festival est passé et il n'y avait toujours aucun retour sur Concertandco ... louche non ? Du coup je vais y consacrer une partie de ma première journée de vacances histoire d'être à jour avant les éventuelles quelques dates prévues dans les semaine à venir. Je ne pars pas de rien car l'ami Phil2Guy avait commencé un compte rendu donc il m'a envoyé le brouillon étant parti en rando-claquettes au moment où je reprends le bébé. J'aurais pu m'amuser à vous faire deviner quels sont ses passages et les miens mais je vais les mettre entre crochets histoire de rendre à César ...
[La saison des Festivals d'été est désormais lancée, on ne manquera pas d'aller une nouvelle fois au festival yeah! à Lourmarin, on aime ce festival pour son cadre magnifique au pied du château avec vue sur la vallée, sa jauge très raisonnable et sa programmation éclectique qui va du rock "indé" au sens large à l'electro la plus aventureuse.]
Pas question d'être en retard aujourd'hui, on a récupéré les enfants à la sortie de l'école dans notre voiture du week-end (merci drivy), on a récupéré notre bungalow sur le camping où on se rend désormais tous les 2 ans (une année sur deux quelque chose nous empêche de venir au festival), on a rejoint et traversé le village a pieds et on entre dans l'enceinte du château à temps pour découvrir Moon Gogo (un des groupes que je ne voulais pas raté) qui est présenté sur le site en ces termes (que je vous copie colle ce qui m'évitera de dire des bêtises).
"Moon Gogo est le surprenant attelage façon "battle" entre une virtuose de geomungo (prononcer ‘komoungo'), instrument coréen millénaire et un chanteur/songwriter qui connaît son affaire. D'un côté donc, E'Joung-ju, musicienne classique qui fait claquer, gémir ou murmurer les six longues cordes de son instrument millénaire. Parfois surnommé "Chef des cent musiques", le geomungo est tour à tour tonnerre menaçant, suave plainte ou groove entêtant. De l'autre, Federico Pellegrini, claviers à un doigt, guitare à pas beaucoup plus, hyperfuzz au pied quand il le faut, et surtout, chant ductile, de ceux qui vous emportent en trois inflexions...
Ensemble, ils produisent une musique accrocheuse et obsédante, élégante et légèrement débraillée, intime et suavement punk... de la musique de chambre pas très bien rangée en quelque sorte !"
Intriquant n'est ce pas mais si on rappelle à cela (pour les gens de mon age) que Frederico est un ex Little Rabbits ex French Cowboy alors cette prestation sur la scène Vieille Ferme, située en contrebas de la cours du château, prend alors la forme d'un pèlerinage pour beaucoup (un peu comme le solo de Married Monk l'avait été 4 ans plus tôt).
Le son n'est pas extra (assez sourd) de là où j'étais mais on retrouve la patte de Frederico (un mélange de nonchalance légèrement éraillée, de musique américaine sous lexomil, et de textes poétiquo-(sur)réalistes). A bien des égards il me fait penser au souvenir que j'ai de Vic Chesnutt. Trucker hat et lunettes de vue dans la poche pour lui, bottes en cuir rouges et grosses lunettes de soleil pour elle, une entente musicale parfaite et une complicité qui a l'air d'aller bien au delà.
Ca se voit notamment dans la façon dont ils interagissent lorsque sur certains morceaux Frederico laisse sa guitare et son clavier pour se déplacer sur la petite scène ou en descendre ... Les VIP (comme Moustic au balcon de la cour du chanteau) et le public présent devant la scène semblent sous le charme (il y a aussi ceux juste derrière la scène qui ayant déjà bu beaucoup de rosé ne semblent pas entendre le musique). Sur la set list 8 morceaux (dont j'ai récouté les 4 premiers Tinkerbell, Pinball, Dust, You Say Hi sur cet autre live pour faire revenir quelques souvenirs) parmi lesquels une adaptation d'un morceau nord-coréen. Une superbe entrée en matière à l'issue de laquelle je serais bien allé échanger quelques mots avec Frederico mais comme ça n'aurait surement pas dépassé le "j'adore ce que vous faites" et que j'avais aussi repéré Christophe pas loin de la scène je n'y suis pas allé.
L'ouverture du portail nous donnant enfin accès à la cour, nous voilà au pied de la grosse scène située contre le château (et qui ne dispose toujours pas de toit en cas de pluie). C'est donc Cannibale dont le site du Yeah en citant Gonzai nous dit "Encore inconnus sur la carte du rock il y a un an, les Français de Cannibale doivent leur nom au fait qu'ils pratiquent "une sorte de garage réunionnais" où la moiteur tropicale du groove bouffe lentement toutes les idées reçues sur ce que devrait être une sortie Born Bad (des Blousons noirs écoutant Johnny). Si cannibalisme il y a sur "No Mercy of Love", c'est donc plus en référence aux rythmes caribéens qu'on entend parfois, ainsi qu'à ce psyché de cambrousse, qui font de ce premier album une sorte d'anomalie au pays des 35 heures. Un étonnant mélange entre cumbia, rythmes africains et rock garage ; dit autrement, une sorte de chainon manquant entre Fela Kuti, les Doors et The Seeds."
Super attitude sur scène. Chanteur souriant présent et dedans sans en faire des caisses, soutenu par 4 musiciens parfaitement en place qui assurent des churs puissants capables de partir très haut dans les aigus. Moi ils m'ont fait penser à d'autres (mauvaises) graines, mais en beaucoup plus dansant. En les écoutant je me suis imaginé Nick Cave en train de reprendre Our house de Madness. Début de set hyper dansant, puis passages plus ambiants / hypnotiques.
Phil lui en parle de [psyché très groovy avec un orgue très présent qui évoque inévitablement les Doors ou même Love]. A noter que les 50 minutes de leur prestation sont toujours visibles sur Culturebox. Je vous conseille vivement d'aller y jeter une oreille. Clairement une de mes bonnes surprises / découvertes du festival me donnant envie de me procurer le disque. Envie confirmé par Phil qui en dit [choeurs à l'unisson en voix de tête, si le set ne présente pas de réelle surprise par rapport à leur (très bon) album en tout cas la maitrise instrumentale et le plaisir de jouer sont bien là, une bonne partie du public se dandine et semble conquise].
Entre les groupes de la grosse scène les intermèdes musicales sont assurées par la famille Liminanas aux platines. Comme Charlie O. ou De Rebotini les années précédentes avant eux ils s'acquitteront de cette tâche avec élégance et simplicité. Une sélection (dont j'ai noté aucun des titres) mais dont je me souviens qu'elle m'a paru sur le coup bien sympathique.
Il fait maintenant nuit quand Tschegue fait son entrée sur scène. Tschegue c'est qui ? Comme précédemment je cite le site : "Lui, Nicolas Dacunha, natif de la banlieue parisienne, elle, Faty Sy Savanet, née à Kinshasa, grandie à Lemba, le quartier branché de la capitale congolaise, atterrie à neuf ans en banlieue parisienne, avant de se révéler au micro avec le combo garage rock Jaguar. Entre ces deux électrons libres, pas mal d'atomes crochus : il suffisait juste que les planètes s'alignent pour que cette paire de complémentaires fasse des étincelles."
Et effectivement le mélange est plutôt explosif. Dans la lignée de Cannibale en termes de mélange et un cran au-dessus au niveau beat. Dans son blouson en cuite trop grand tagué en peinture blanche "vous n'avez pas soutenu mon regard" elle arpente la scène en mode un peu provoc' / un poil agressif - dans le sens qui n'entend pas vous laisser indifférent. Et effectivement si de notre côté nous ralentissons un peu (à ce stade les enfants se sont endormis à côté de la scène) le public réagit au quart de tour à toutes les sollicitations vocales à coup de "A- a- a- hah !" du groupe.
En d'autres termes (par Phil) [On enchaine avec tshegue et son afro electro beat très rythmique, une chanteuse à la voix de contre-alto survoltée]. Partant chercher une crêpe pour Svet qui est coincée sous Alice qui dort, je tombe sur Ben, Fred, Romeo et Ilo qui n'ont des places que pour le lendemain qui après avoir récupéré leur bungalow, sont venus diner juste derrière le mur du château et profiter ainsi du son, énervé de Tschegue, et plus calme juste après de Girlz in Hawai.
Comme le dit Phil [changement de registre avec la pop des belges de Girls in Hawai. Si je connais assez peu ce groupe, j'ai d'abord frémi en entendant en guise de démarrage des premières notes au piano qui m'évoque dangereusement Supertramp mais la musique de ce sextet belge des chansons pop très agréables, de belles voix de tête à l'unisson, avec une première partie plus electro pop et des chansons aux rythmes laid back et des synthés et claviers plus présents. La deuxième parie de leur set donnera plus de places aux guitares]
Pour ma part je les avais découverts au Poste à Galène en en 2004, concert dont je découvre avec horreur que je n'ai jamais fait la chronique. Cela dit je me souviens avoir été moins emballé que les autres ce soir là. J'avais bien aimé ce sont belge qu'ils partagent avec les Ghinzu, Zita Swoon ou même Zop Hophop, mais même si à l'époque il y avait quelques passages bien énervés, ils sont quand même beaucoup plus pop que les autres groupes cités.
Déjà à l'époque et peut être encore plus maintenant ils ont ce côté pop propret à la Coldplay qui pourrait sans problème remplir des stades mais qui ne m'emballe pas plus que ça. Attention je ne dis pas ça méchamment, certains morceaux sont même carrément captivant, mais sur la longueur ça manque d'aspérités comme en ont certains groupes boxant dans la même catégorie tel que Oasis pour n'en citer qu'un. Cela dit la sérénité et le bien être qu'ils dégageaient sur scène étaient quand même bien plaisants. D'ailleurs là aussi le live est en ligne sur Culturebox si vous voulez vous en faire votre idée.
Après un intermède "vive les mar yeah", ce sera donc au tout de DBFC ... donc on (toujours le site) nous disait "Pris par la fièvre d'une complicité immédiate, les deux pères de DBFC, le bordelais Dombrance et le mancunien David Shaw croisent leurs grammaires et inventent un langage commun en 2014. Des guitares héroïne se mêlent alors aux synthés à la Kraftwerk sur des beats motoriques ou disco. DBFC donne alors naissance au psychotronica. Un genre nouveau. Une synthèse. Un creuset sonore où se fondent les transes de la musique de club, les divagations mentales de la pop psychédélique et les lames du rock."
Là j'avoue que je suis un peu embêté car (ne prenant pas de notes comptant sur mon acolyte) je n'ai plus de souvenir vraiment précis ... je me souviens uste du fait qu'il y avait quelque chose d'un peu étrange dans ce duo. Costard vs. blouson en cuir, guitares vs. machines ... je croyais que c'était dans les interventions en direction du public (un peu teenager) qu'un truc clochait mais là je suis en train de regarder leur live (toujours sur Culturebox ) et rien ne me parait étrange.
Après pour être honnête nous ne resterons pas jusqu'au bout (il reste encore 2 jours de festival et les enfants sont trop lourds / nombreux pour être transportés endormis) et écouteront leur set electro rock de plus en plus loin en rentrant tous les 5 à pieds sur le bord de la route, ce qui fait désormais partie du rituel de ce festival aussi familial que sympathique.
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Critique écrite le 02 août 2018 par pirlouiiiit
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